Pourquoi toujours ce besoin de mettre les gens dans des casesselon leurs activités professionnelles, leurs passions, leurs études, un prisme de pensée…?La case définit souvent des attendus de la Société, des stéréotypes, des croyances et un périmètre d’intervention qu’il convient de ne pas dépasser.
Pourtant, n’est-ce pas réducteur de qualifier une personne uniquement sur son activité professionnelle ?Nous sommes bien plus qu’une case L’humain est riche de tout ce qui le compose. La plus-value de chacun réside dans son parcours, sa culture, son savoir-faire,son envie de faire, ses passions, son savoir-être et dans toute son intelligence émotionnelleLa prise en compte de la plus-value de chacun permettra d’ouvrir les horizons et le champ des possibles.Autorisons-nous à mettre des passerelles entre les secteurs d’activités comme l’Art en entreprise.Vive le Patchwork !AurélieCoach, créative, peintre, facilitatrice, entrepreneuse, praticienne EFT, maman…. Et bien d’autres choses me composant !!Sujet traité par Catherine Testa https://catherinetesta.com/tu-crois-vraiment-quon-peut…/
Et si la vulnérabilité n'était pas un gros mot dans le monde de l'entreprise?
En tant que chef d’entreprise, manager, collaborateurs, fréquemment on entend les injonctions suivantes « je me dois de… il faut que je sois … on attend de moi… » Ce sont pour beaucoup des croyances issues des dictats du monde du travail. Le matin, chacun enfile son costume.
En effet, on nous apprend souvent à garder une distance et à projeter une certaine image de nous. Une image de confiance, de compétence et d’autorité. Nous pouvons révéler notre vulnérabilité à un conjoint ou à un ami proche, le soir, derrière des portes closes, mais jamais nous ne la montrerions ailleurs pendant la journée, encore moins au travail.
Et si on remplaçait « distance et froideur professionnelles » par des incertitudes, des risques et une exposition émotionnelle. En somme montrer notre vulnérabilité. Brené Brown, une spécialiste des liens sociaux, a mené des milliers d’entretiens pour découvrir ce qui est à l’origine de ces liens. Une analyse approfondie des données a révélé ce que c’était : la vulnérabilité.
Les occasions de vulnérabilité se présentent à nous chaque jour au travail comme le fait d’appeler un employé ou un collègue dont l’enfant ne va pas bien, de demander de l’aide à quelqu’un, d’assumer la responsabilité de quelque chose qui n’a pas marché au travail. Plus important encore ,Brené Brown décrit la vulnérabilité et l’authenticité comme étant à la base des rapports humains. Et les rapports humains font souvent cruellement défaut sur les lieux de travail.
Pourtant, nous nous sentons plus à l’aise avec une personne authentique et vulnérable. On constate alors une résonnance en nous, nous le sentons et ressentons. Une authenticité et un leadership fondé sur des valeurs engendre un comportement plus positif et plus constructif chez les employés, sentiment de confiance à l’égard du dirigeant comme de l’entreprise. La recherche a montré que les contacts personnels et le plaisir que les employés tirent de leur travail favorisent une plus grande loyauté que ne le fait le montant de leur salaire.
Et si cette crise sanitaire était l’éloge de la vulnérabilité et de l’authenticité en entreprise ?
Etre vulnérable et authentique ne veut pas dire dans ce cas être faible ou soumis. Bien au contraire, cela implique le courage d’être soi- même. Les valeurs « sincérité, confiance, et authenticité » prennent toutes leurs dimensions en cette période de crise et d’incertitude.
Peut-être, est- ce le moment de sortir des schémas pré établis, connus pour se réinventer et laisser parler ce qui nous définis, notre humanité?
La crise met le sens du travail sur le devant de la scène
Rien n’est plus étrange que ce qui nous arrive en ce moment. Nous n’avons pas de références, tout est de l’ordre de l’inconnu. Et ne pas savoir où on va pour un chef d’entreprise, ce n’est pas habituel dans son rôle de leader. Comment le chef d’entreprise mais aussi les salariés vivent -ils cette période ? Lors de cette période de confinement, chacun passe par plusieurs phases psychologiques
La 1ere phase est la phase la plus émotionnelle. Les salariés comme les chefs d’entreprises ont dû s’organiser pour eux, leurs proches et leur travail. Ce fût une phase d’adaptation à ce nouveau mode de vie, teintée de panique, et le plus souvent, en mode réactif, avec des compulsions d’achat par exemple, comme nous avons pu voir.
La 2ème phase dite de sécurité arrive, celle où les 1eres peurs sont passées. Il a fallu trouver les outils pour garder le lien entre les collaborateurs pour les entreprises, pour chacun occuper ce nouveau temps libre, le mettre à profit pour faire de nombreuses activités laissées de côté « pour plus tard » ou tout simplement passer du temps de nouveau avec les siens et les redécouvrir.
Puis vient la 3ème phase dite d’appartenance. Il s’agit de s’approprier cette nouvelle vie. C’est le moment où un rythme se met en place avec des nouvelle habitudes, un espace vie privée /pro est maintenant défini. Les entreprises mettent en place des plannings de travail, planifient les réunions, des projets. L’Homme a ainsi besoin d’avoir un cadre pour être rassuré.
La 4ème phase prend place alors, il s’agit de la phase de l’importance. Beaucoup de changements imposés en très peu de temps, l’Homme n’est pas habitué et divers comportements émergent face à la situation, des peurs, des angoisses, et les croyances de chacun. Toutes ces émotions doivent être acceptées y compris pour le chef d’entreprise, qui est un homme ou une femme comme les autres. Des parenthèses peuvent être aménagées pour partager ces émotions en échangeant avec des pairs, dans les réseaux (réseaux chefs entreprises, réseaux de DRH …) ou avec un tiers comme un coach. Un tiers n’aura pas de lien affectif à la différence de son conjoint, famille, qui gardera la neutralité et l’objectivité pour un accompagnement optimal.
Il y a forcément un retour à l’essentiel, une prise de conscience. C’est peut- être le moment de travailler pour les entreprises sur le « après la crise sanitaire » car personne ne sera plus comme avant la crise. Les lignes auront bougé.
Certaines professions auront trouvé du sens à leur mission au sein de notre société comme les soignants, les caissiers, les livreurs …
D’autres auront retrouvé une reconnaissance un peu perdue depuis quelques années comme les agriculteurs qui nourrissent la population.
Puis certaines entreprises auront voulu participer à l’effort national et donner du sens à leur présence en changeant leur production avec la fabrication de masques glissières plastiques, des gels hydroalcooliques …
Et, toi, l’entreprise qui a fermé, jugée comme activité non essentielle à la société, quel est ton rôle, le sens de ton travail ?
La crise va s’estomper et la 5ème phase arrivera, ce sera la phase d’auto- actualisation.
Chacun va vouloir reprendre sa vie d’avant, va avoir besoin de se projeter. Pour autant, chacun aura vécu cette crise différemment avec des empruntes émotionnelles inégales (personne touchée par le décès d’un proche, hospitalisation, malade, peur pour les siens, angoisse …). Certaines personnes se seront révélées pendant cette crise, d’autres auront pris conscience d’une envie d’ailleurs, de vouloir exercer une autre activité ou d’autres encore auront la confirmation d’être à la bonne place. Dans cette période d’incertitude, il y en a qu’une : Il y aura bien un avant et un après cette crise.
Source : L’optimisme » Les 5 étapes
du coronavirus »/Interview CJD France
Les activités artistiques ont de nombreuses vertus qui ne sont plus à démontrer tant sur le plan personnel que professionnel. Des chercheurs de l’université de Drexel ont prouvé que pratiquer l’art sous différentes formes permettait de faire baisser le niveau de cortisol, l’hormone responsable de l’anxiété. L’étude a également prouvé que 45 minutes suffisent pour commencer à ressentir un effet positif.
Pourquoi l’art détend-il autant ?
Cela nous permet de nous détourner des pensées parasites et négatives en nous concentrant et de voir les choses avec une nouvelle perspective.
L’art réduit le stress par :
– La distraction : l’artiste en herbe n’est plus absorbé par ses problèmes
– La transe artistique : s’engager dans une démarche artistique permet d’obtenir un état quasi méditatif dont les bienfaits sont proches de ceux du yoga.
– L’équilibre personnel : en s’obligeant à prendre du temps pour soi, on prend soin également de sa santé mentale et physique
Quelques idées créatives simples et facile d’accès :
Le coloriage
Succès non démenti depuis plusieurs années. Tout simplement parce qu’il ne demande aucune compétence et très peu de matériel et que ses vertus antistress sont réelles.
Le coloriage aide à mettre en ordre ses émotions et à libérer les tensions. Il existe de nombreuses applications disponibles sous Android : colorfy , happy color…
Le zentangle
C’est une technique que vous avez déjà employée sans le savoir en gribouillant sur un bout de papier pendant que vous parliez au téléphone. La rencontre entre le zen et le tangle (« gribouillage » en français) est née de la découverte du pouvoir déstressant de ces petits dessins par deux Américains, Maria Thomas et Rick Roberts. Le zentangle, c’est un petit dessin carré abstrait composé de motifs répétitifs. Il suffit d’un simple crayon et d’un morceau de papier pour pratiquer le zentangle, qu’on peut dégainer n’importe où. Grâce au mouvement répétitif et mécanique du crayon, l’esprit est libre de vagabonder.
A chacun son outil, son envie. Personnellement, je pratique la peinture, l’art plastique. Je partage avec vous une de mes créations.Et vous ?
A vos crayons, pinceaux, stylos ou encore télécharger une application de coloriage.
Source : Revue psychologies » Adopter une activité créative réduit le stress »
On a longtemps cru qu’émotions et travail bien fait étaient incompatibles. Les émotions étaient assimilées à une perte de contrôle de soi, à un aveu de faiblesse. Pour être professionnel, on se devait d’encaisser toutes les situations avec impassibilité. Aujourd’hui, on sait que les émotions, loin d’être des obstacles à la performance, peuvent en réalité en être un formidable levier.
Couper ses émotions est impossible
» Laissez vos émotions à la porte » , injonction souvent entendue qui n’a aucun sens. S’évertuer à ne rien ressentir est illusoire puisqu’on ne peut pas couper le courant de nos émotions. On ne peut pas non plus contrôler à quel moment elles vont surgir. Autant apprendre à les connaitre , les reconnaître plutôt que de livrer un combat perdu d’avance.
Les émotions nous veulent du bien
Paradoxalement, plus on essaie d’éviter nos émotions, plus elles finissent par nous gouverner.
Le meilleur moyen de garder la maîtrise et de s’en libérer, c’est justement de leur prêter l’oreille. Une émotion est un signal, qui se déclenche pour nous renseigner sur l’état de nos besoins. Chaque émotion est utile. Si vous refusez d’écouter ce que vos émotions ont à vous dire et de combler le besoin qu’elles signalent, elles resteront tapies au creux du ventre pour revenir d’autant plus puissantes colporter leur message.
Une émotion trop longtemps refoulée finit par nous ronger de l’intérieur, au sens figuré comme au sens propre. A l’inverse, être à l’écoute de ses émotions est un excellent antidote contre le stress, le burn- out, les insomnies et favorise le bien-être et la confiance en soi.
Les émotions sont une précieuse boussole
On a longtemps pensé que les émotions étaient un obstacle au jugement, et à une prise de décision optimale. Pourtant, on sait aujourd’hui que ce n’est pas le cas, au contraire. Puisqu’elles font office de baromètre de nos besoins, elles renferment des informations précieuses pour orienter les décisions. Elles serviront de boussole pour nous pointer vers la bonne direction et nous aider à faire des choix.
L’authenticité inspire confiance
On se méfie souvent des émotions parce qu’on les prend pour des marques de faiblesses et de vulnérabilité .Exprimer ses émotions rend bien plus sympathique et abordable. Avoir le courage de ses émotions force l’admiration et inspire confiance. Bien sûr, cela n’est vrai que pour les personnes qui savent exprimer leurs émotions de façon appropriée.
Les émotions enrichissent les relations
L’idée reçue voudrait que bannir les émotions au travail permet d’éviter les conflits et de maintenir les relations à un niveau professionnel. Pourtant, c’est justement parce que personne n’ose ou ne sait comment exprimer ses émotions de façon adéquate et que chacun se sent obligé de porter un masque que les relations au travail sont trop souvent empoisonnées par les non-dits, les faux semblants et l’hypocrisie.
En réalité , les émotions sont déterminantes pour favoriser l’authenticité, l’harmonie , l’échange et un environnement de travail sain. Un avantage de taille pour travailler efficacement en équipe!
L’intelligence émotionnelle est une compétence d’avenir
Selon les chercheurs , environ 10 % de la réussite professionnelle d’une personne est directement attribuable à ses compétences émotionnelles. Etre capable d’exprimer convenablement ses émotions est devenu une compétence valorisée. C’est même un des atouts de l’humain face à la robotisation.
L’intelligence émotionnelle se cultive ! Selon les chercheurs , environ 10 % de la réussite professionnelle d’une personne est directement attribuable à ses compétences émotionnelles. Et oui ! Etre capable d’exprimer convenablement ses émotions est de d’accepter que notre personne professionnelle est, elle aussi, autorisée à avoir peur, à être frustrée, en colère, ou à déborder d’enthousiasme. Il s’agit d’apprendre à reconnaître ses émotions, à les comprendre, et à les exprimer de façon appropriée venu une compétence valorisée. C’est même un des atouts de l’humain face à la robotisation.
Source :Revue Psychologie -Article « 6(bonnes) raisons d’écouter ses émotions au travail »
Par respect de la confidentialité, je ne dévoile pas le nom de mes clients.
Douce et posée, Aurélie m’a guidée avec professionnalisme. Cette séance
d’EFT a été pour moi une révélation, une incroyable expérience qui m’a permis
le lâcher-prise et au final, l’atténuation de mes crises d’allergie. La
septique que j’étais, connaît désormais le métier d’Aurélie et peux ainsi mieux
la recommander. Et avant tout, je tiens à la remercier pour ce temps passé dans cette bulle bienveillante.
L.
Cliente EFT
J'ai découvert l'EFT avec Aurélie. Même si j'étais sceptique au début et un peu surprise sur le
processus, Aurélie a su me mettre en confiance, j'ai pu " lacher
prise" et en ressentir les bienfaits. Les atouts d'Aurélie, sa
passion, son questionnement pertinent, sa bienveillance ! Je recommande
vivement Aurélie
« Il n’est aucun problème humain qui ne puisse trouver sa solution puisque cette solution est en nous » Alfred Sauvy
L’EFT est une méthode de développement personnel impliquant le corps/esprit , qui a été développée par l’ingénieur Gary Craig et inspirée en grande partie du travail du Dr. Roger Callahan.
L’EFT consiste à tapoter, avec le bout des doigts, des points d’acupuncture sur les mains, le visage et le thorax tout en se focalisant sur un problème que l’on souhaite résoudre. Elle travaille avec le système d’énergie subtile du corps – un réseau de canaux d’énergie, appelés méridiens dans la médecine traditionnelle chinoise.
L’EFT peut aider notamment à :
-gérer l’anxiété , le stress
-apaiser des douleurs physiques , émotionnelles
-réduire des croyances limitantes
-apaiser les phobies , les peurs
-libérer ou transformer les émotions douloureuses , inconfortables comme la colère , la honte , la culpabilité , frustration , tristesse.
-améliorer les performances
En utilisant l’EFT, il est possible d’atteindre un soulagement et un bien-être manifeste. Après seulement quelques rondes de tapotements, les effets se font déjà sentir . Ils se sentent plus légers et plus calmes, capables de respirer plus facilement, presque comme s’ils avaient maintenant plus d’espace à l’intérieur.